J'aurais aimé te dire tas de choses.
J'aurais aimé te sentir comme une rose sur une falaise délaissée.
J'aurais peut être aimé trahir mes regrets de t'avoir laissé partir sans pouvoir dire un mot.
Un mot ... Qui comptait ... Et qui savait
Qui tremblait ... qui n'osait pas te dire :
Que tu étais toujours ma résistance et mon refuge muet qui te criait.
Et que tu étais ma raison de rêver.
Et j'aurais tellement aimé goûter tes soupires pour les compter.
Bouleversé par ton sourire, j'ai fait semblant d'oublier que tu es et tu as toujours été ma souffrance bien aimée.
J'aurais aimé que tu admettes l'amour qui comblait mes pensées.
Et ce n'est pas encore fait ...
Mais je t'aimerai , et en effet, enfin tu le sais ... Oh que c'est vrai !
Que je te dirai que tu es l'héroïne de mes contes de fées.
Et je supporterai tes mal faits, tes gestes bien aimé.
Et je dégusterai de tes mains un café qui me donnera envie de prier toutes tes haines et tes pensées.
Et je supporterai tout ton passé avant que j'étais né.
Et je cèderai à toutes les vérités quand je saurai tout ce que tu as fait.
Et jamais je n'hésiterai avant de t'aimer.
Et tu sauras ,peut être, sans moi ce que ça fait l'amour à l'imparfait.
Ô que tu sais ... Qu'est ce que ça fait un amour inhibé ...
[Amine.G]